« Je trouve qu'on en fait beaucoup. Le point de départ de la critique à l'égard des banques européennes vient des États-Unis, et pas pour une raison emprunte de naïveté. Simplement parce qu'ils ont un formidable besoin de refinancement et que la concurrence de l'euro était extrêmement gênante pour eux. Donc, en critiquant les banques européennes, on affaiblit aussi l'euro et on règle indirectement le problème des Américains... »Georges Pauget, ancien directeur général du Crédit Agricolegricole.