« Je suis très inquiet sur la situation des céréales et surtout du blé. Sur le blé, nous avons une situation statistique très difficile avec une suite d'accidents climatiques dans les grands pays exportateurs, donc ceux qui pouvaient fournir le marché mondial. Ça a été la sécheresse et les canicules en Russie l'année dernière. C'est aujourd'hui les inondations en Australie, la sécheresse en Argentine. Avant l'arrivée de la prochaine récolte de l'hémisphère Nord, en mars, avril, mai, nous allons avoir de gros problèmes et on peut avoir de très fortes tensions sur les prix. »