Pour un homme qui ne connaissait rien à l'automobile, sinon comme fournisseur d'aluminium ou d'acier, Philippe Varin aura découvert le secteur au pire moment. Arrivé en juin 2009 à la tête d'un PSA déstabilisé par la chaotique présidence de Christian Streiff, il a dû remobiliser les équipes, forger une stratégie, relancer les coopérations, négocier une alliance et... limiter la casse.