« Un, on a surestimé. Deux, c'est mondial.Aux États-Unis, en...

« Un, on a surestimé. Deux, c'est mondial.Aux États-Unis, en Suisse, au Canada ou ailleurs, la folie a été collective. Il était souhaitable de prendre des mesures. Mais il aurait fallu attendre d'avoir des éléments sur une mutation éventuelle du virus. Là, c'est un coup d'épée dans l'eau. On a dépensé 1 milliard d'euros pour acheter des vaccins dont il va falloir rendre la consommation obligatoire si l'on veut qu'ils servent à quelque chose. »Jean-Claude Seys, fondateur et vice-président de Cové
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