« C'est la première fois que la communauté internationale et l'ONU prennent position sur un vote interne à un État, la Côte d'Ivoire en l'occurrence. Ce qui veut dire que, derrière tout cela, il y a des enjeux cruciaux, non seulement pour ce pays, mais aussi pour la communauté internationale. Selon celui des deux prétendants qui sera finalement au pouvoir, l'ONU aura montré, ou pas, qu'elle a une vraie crédibilité pour gérer ce genre de problème. »(*) Institut français des relations internationales.Thierry de Montbrial directeur général de l'Ifri (*)