Une sortie de l'Allemagne de la zone euro ? Pourquoi Georges Soros a tort

Hans-Werner Sinn est professeur d'économie et de finances publiques à l'Université de Munich, et président de l'Institut Ifo.
Hans-Werner Sinn . Copyright Reuters

L'été dernier, le financier George Soros invitait l'Allemagne à accepter la mise en place du Mécanisme européen de stabilité (MES), appelant le pays à « diriger ou se retirer. » Il considère aujourd'hui que, si l'Allemagne entend continuer de faire obstacle à l'introduction des euro-bonds, elle devrait alors quitter la zone euro.

Soros joue véritablement avec le feu. Une sortie de la zone euro, tel est en effet précisément ce à quoi aspire le parti récemment formé et baptisé « Alternative pour l'Allemagne, » tirant son soutien d'une large proportion de la population allemande.

Le temps presse. Chypre est quasiment en passe de sortir de l'euro, l'effondrement de ses banques ayant certes été retardé par la fourniture par la BCE de liquidités d'urgence, tandis que les partis eurosceptiques dirigés par Beppe Grillo et Silvio Berlusconi ont rallié au total 55% du vote populaire aux dernières élections générales italiennes.

Par ailleurs, il est peu probable que les Grecs et les Espagnols supportent plus longtemps le poids de l'austérité économique, le chômage des jeunes approchant chez eux 60%. Pendant ce temps, le mouvement pour l'indépendance de la Catalogne suscite un tel élan qu'un important général espagnol a averti qu'il enverrait l'armée à Barcelone si la province avait l'audace d'organiser un référendum sur la question d'une sécession.

La France dans l'incapacité d'honorer ses engagements

La France se heurte, elle, aussi à des problèmes de compétitivité, et se trouve dans l'incapacité d'honorer ses engagements en vertu du Pacte budgétaire de l'Union européenne. Le Portugal a, quant à lui, de nouveau besoin d'un plan de sauvetage, et la Slovénie pourrait, elle aussi, bientôt solliciter une aide.

De nombreux investisseurs font écho à Soros. Ils souhaitent en effet limiter les pertes, en déchargeant la toxicité de leurs instruments sur les sauveteurs intergouvernementaux susceptibles de les payer grâce aux fruits de la vente d'euro-bonds, désirant voir leur argent placé en un lieu plus sûr. Les peuples font d'ores et déjà l'objet de sollicitations mal avisées dans un effort d'épongement des titres toxiques et de soutien des banques les plus fragiles, les institutions financées par les contribuables, comme la BCE, et autres plans de sauvetage ayant à ce jour apporté 1.200 milliards d'euros (1.600 milliards de dollars) en crédit international.

Si Soros a raison, et que l'Allemagne doit faire un choix entre les euro-bonds et une sortie de la zone euro, de nombreux Allemands préfèreront très certainement quitter l'euro. Il serait alors probable que le nouveau parti politique allemand suscite de plus en plus de soutien, et que l'état d'esprit change. Il en serait alors fini de l'euro lui-même ; son principal objectif n'était-il pas en effet de rompre la domination de la Bundesbank en matière de politique monétaire.

Georges Soros est dans l'erreur

Seulement voilà, Georges Soros est dans l'erreur. Pour commencer, il n'existe aucune base juridique à sa proposition. L'article 125 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne interdit expressément la mutualisation de la dette.

Pire encore, Soros échoue à reconnaître la véritable nature des problèmes de la zone euro. La crise financière actuelle est le simple symptôme du mal sous-jacent qui touche l'union monétaire : la perte de compétitivité de ses États membres du sud. 

L'euro a permis à ces pays d'accéder au crédit à bas prix, lequel a été utilisé pour financer des augmentations de salaires qui n'ont pas été soutenues par des gains de productivité. Ceci a abouti à une explosion des prix et à des déficits extérieurs colossaux.

Le fait de maintenir des prix et des revenus nominaux excessifs dans ces pays, au moyen d'un crédit artificiellement bon marché et garanti par d'autres États, ne peut que rendre la perte de compétitivité d'autant plus permanente. L'ancrage de relations débiteur-créancier entre les États de la zone euro ne peut quant à lui qu'alimenter les tensions politiques - comme cela fut le cas aux États-Unis dans les premières décennies du pays.

 L'Espagne serait contrainte de baisser ses prix de 22 à 24%

Afin de retrouver de la compétitivité, les États du Sud devront réduire le prix de leurs produits, et les États du Nord accepter une inflation plus élevée. Or, l'existence d'euro-bonds entraverait précisément cette issue, dans la mesure où les prix relatifs au nord ne peuvent être augmentés que lorsque les épargnants du nord investissent leur capital sur leur territoire, et non lorsque ce capital est officiellement escorté vers le sud dans le cadre de garanties de crédit financées par le contribuable.

D'après une étude conduite par Goldman Sachs, des pays comme la Grèce, le Portugal et l'Espagne vont devoir devenir 20 à 30% moins chers, et les prix allemands augmenter de 20% par rapport à la moyenne de la zone euro. Certes, si l'Allemagne venait à sortir de la monnaie unique, le retour à la compétitivité serait plus aisé pour les pays du sud dans la mesure où l'euro reliquat ferait l'objet d'une dévaluation ; mais la difficulté fondamentale des États en crise persisterait aussi longtemps que les autres pays compétitifs demeureraient au sein de la zone euro. L'Espagne, par exemple, serait encore contrainte d'abaisser ses prix de 22 à 24% par rapport à la nouvelle moyenne de la zone euro.

Dans une telle perspective, les pays en crise n'échapperaient pas à une réduction douloureuse des dépenses aussi longtemps qu'ils évolueraient au sein d'une union monétaire réunissant un certain nombre d'États compétitifs. La seule manière d'éviter cela consisterait pour eux à sortir de la zone euro afin de dévaluer leur nouvelle monnaie. Ce n'est cependant pas la voie vers laquelle ils semblent jusqu'à présent s'orienter.

Le Rhin réapparaîtrait en tant que frontière entre la France et l'Allemagne

Sur le plan politique, une sortie de la zone euro constituerait de la part de l'Allemagne une erreur considérable, dans la mesure où le Rhin réapparaîtrait en tant que frontière patente entre la France et l'Allemagne. La réconciliation franco-allemande, réussite la plus significative de la période d'après-guerre en Europe, s'en trouverait mise à mal.

Ainsi, aussi déplaisante puisse-t-elle paraître à certains États, la seule option restante consiste à resserrer les contraintes budgétaires au sein de la zone euro. Après des années de crédit facile, il est temps de revenir à la réalité. Il appartient aux États en faillite d'informer leurs créanciers de leur incapacité à honorer leurs dettes. Quant aux spéculateurs, il leur faut endosser la responsabilité de leurs décisions, et cesser de solliciter les deniers du contribuable dès lors que leurs investissements tournent mal.

Traduit de l'anglais par Martin Morel

Copyright: Project Syndicate, 2013.

 

Sujets les + lus

|

Sujets les + commentés

Commentaires 118
à écrit le 29/04/2013 à 11:20
Signaler
Une partie des problèmes de l' Europe vient des états unis car les 10 grosses banques américaines ont essayé de sauver leur peau en vendant leurs dettes pourries. Ce problème ne serait pas arrivés si certains banquiers Européens avides (dont certaine...

à écrit le 27/04/2013 à 23:39
Signaler
C'est plus une finalisation de l'Europe qui est nécessaire. La crise n'est pas liée à l'Europe ni à l'euro comme tentent de le faire croire à tort des partis populistes qui veulent le pouvoir avec des idées simples comme par le passé, mais est venue ...

le 28/04/2013 à 16:27
Signaler
les populistes accusent le bouc-émissaire américain. les populistes devraient avoir honte.

le 30/04/2013 à 20:38
Signaler
Le mot "populiste" est la mode depuis 2 ans. Les médias ont repris ce terme au titre très vendeur faisait référence aux années 30; et que nous allions dans la même direction politique. "ces populistes" comme vous le dites si bien, sont considérés com...

à écrit le 27/04/2013 à 23:31
Signaler
C'est plus une finalisation de l'Europe qui est nécessaire. La crise n'est pas liée à l'Europe ni à l'euro comme tentent de le faire croire à tort des partis populistes qui veulent le pouvoir avec des idées simples comme par le passé, mais est venue ...

à écrit le 27/04/2013 à 20:08
Signaler
Si les l'Allemagne sort de l'Euro -et ce n'est pas l'envie manque à beaucoup d'Allemands-, elle serait immédiatement suivie par les "petits" pays du Nord qui ne voudront plus rester avec le club Med car il voudra laisser filer les déficits et poursui...

le 27/04/2013 à 21:35
Signaler
l'Allemagne ne donne rien de plus que la France (en rapport avec le nbre de ses habitants et encore) . Non l'Allemagne ne porte pas l'Europe a bout de bras. Par contre elle en profite bien de l'Europe en décrépitude et de son Euro fort comme il faut ...

le 27/04/2013 à 22:39
Signaler
Vous avez mal lu. J'ai écrit qu'elle "porte quasiment seule la solidité de l'Euro", je n'ai pas écrit qu'elle payait pour la France. Les dettes de la BCE sont garanties par les états membres mais on sait bien que c'est la garantie de l'Allemagne qui ...

le 27/04/2013 à 23:20
Signaler
Elle porte queue dalle ! C'est juste que les zozos "experts" de la finance ont encore les yeux qui brillent avec la marque "Allemagne" , c'est du marketing, du pipo . Ce qui explique les élucubrations Allemandes récentes sur le fait de maintenir les ...

le 28/04/2013 à 2:53
Signaler
La fin de l'Allemagne c'est un peu comme la fin de la Chine, tout le monde la prédit mais elle n'arrive jamais. Je ne suis pas sur que la cote part de l'Allemagne soit relative au nombre de ses habitants. J'ai vécu et étudié là-bas et je me souviens ...

le 28/04/2013 à 10:55
Signaler
à n'importe quoi (sic): "maintenir les taux de la BCE élevés" , dites-vous ? Les taux de la BCE à 10 ans sont autour de 2% depuis 2009. Se plaindre de taux élevés de la BCE n'a donc aucun sens, c'est de la rhétorique socialiste sans fondement . Si d...

le 28/04/2013 à 11:32
Signaler
Oui l'Allemagne est entrée en récession elle aussi (vouloir rester la seule en croissance est une erreur) , oui le chômage a déjà ré-augmenté autour des 6% et pour avoir les chiffres ré actualisés cela va être très difficile pendant la campagne (nous...

le 28/04/2013 à 12:05
Signaler
Les "experts" ne sont pas tombés dans le panneau, eux aussi ont intérêt a manipuler la populasse.

le 28/04/2013 à 12:19
Signaler
à n'importe quoi: vous vous êtes encore trompé, la définition de la récession, c'est deux trimestres consécutifs de baisse de PIB, pas un trimestre. Mais vous avez peut-être des dons divinatoires ?

le 28/04/2013 à 16:18
Signaler
l'europe du nord supporte la gabegie sud européenne à bout de bras depuis 20 ans. le sud doit donc sortir de la zone et dévaluer pour sa compétitivité. l'europe doit être remise à plat, tous les traités actuels doivent être liquidés.

à écrit le 27/04/2013 à 19:47
Signaler
György Schwartz (George Soros), sert des intérêts extra-européens et outre-atlantique, à considérer très sérieusement comme étrangers. Peut-être le paie-t-on même pour tenter d'influencer les décideurs européens (s'il a encore besoin d'argent, mais q...

le 27/04/2013 à 22:45
Signaler
Très bien observé iota. Soros ne prédit pas que l'Allemagne sortirait, il VEUT que l'Allemagne sorte de l'UE. Le spéculateur a besoin d'entités disparates où il peut voyager et discriminer à sa guise, aiguiser les différentiels à la hausse ou à la ba...

à écrit le 27/04/2013 à 18:07
Signaler
Il est amusant ce professeur avec ses raisonnement de courte-vue. Il n'a donc pas entendu parler de stratégie ? Soros joue son jeu qui est de faire pression pour demander entre autre une remontée de taux. Il sait très bien que les allemands ne sortir...

à écrit le 27/04/2013 à 17:46
Signaler
Les commentaires de ce professeur d'économie , à propos de G Soros, me paraissent justifiés et son analyse de la situation européenne est également très sensée. Juste un petit bémol cependant, me semble t'il: s'il convient que les états du sud de l '...

le 27/04/2013 à 18:10
Signaler
On voit que les perroquets sont de sortie ! La propagande délirante, ça marche !

le 27/04/2013 à 19:50
Signaler
c'est qui les perroquets qui depuis 3 ans nous serinent que l'austérité est la seuuuule solution ? Et par contre bizarrement ils évitent de répéter leurs premiers arguments crétins du genre : "1 point de PIB en moins de dépense publique c'est 2 point...

le 27/04/2013 à 21:46
Signaler
c'est qui les perroquets qui depuis 3 ans nous serinent que l'austérité est la seuuuule solution ? Et par contre bizarrement ils évitent de répéter leurs premiers arguments crétins du genre : "1 point de PIB en moins de dépense publique c'est 2 point...

le 28/04/2013 à 16:07
Signaler
pour votre info, les grecs sont plus riches que les allemands. bravo votre "solidarité". sortez de l'europe et mettez vous au travail.

à écrit le 27/04/2013 à 17:12
Signaler
Il va falloir mettre de l'eau dans son vin! Et comme personne ne veut avoir le déshonneur de revenir en arrière, il va falloir aller de l'avant mais en changeant le cap de l'Europe: En acceptant la confédération des nations et le retour de l'euro en ...

à écrit le 27/04/2013 à 17:05
Signaler
"D'après une étude conduite par Goldman Sachs (...)" CQFD.

à écrit le 27/04/2013 à 17:01
Signaler
Quand on fait semblant de pas comprendre....Georges Sorros souligne seulement que si l'allemagne ne change rien à sa politique alors tout le monde coule, ce qui l'obligerait pour se sauver à sortir de l'europe, si elle incite à réformer les traités p...

le 27/04/2013 à 17:32
Signaler
ah oui, les eurobonds. Il y a une bonne raison pourquoi ce sont des pays du sud et la France qui poussent pour leur introduction: Les eurobonds ce n'est que la mutualisation de la dette et enlevera toute pression sur les pays depenseurs qui vont alor...

le 27/04/2013 à 21:57
Signaler
"les agences de notation ont déjà fait savoir qu'ils noteront les eurobonds selon le participant le plus faible", c'est complètement con mais bien du niveau de ses agences de notations minables (noté les subprimes AAA , c'était en dessous de l'ultra ...

le 27/04/2013 à 22:44
Signaler
Même l'Allemagne ne peut rembourser l'ensemble de ses dettes (83% du PIB ce qui n'est pas si folichon) , elle peut juste commencer à les rembourser plus vite que les autres. Le fait qu'elle souhaite que les autres pays commencent a rembourser au même...

à écrit le 27/04/2013 à 17:00
Signaler
J'aimerai bien savoir si l'on a été obligé d'emprunter pour verser notre côte part à l'Europe!? Forcément si on est en état de faillite!?

à écrit le 27/04/2013 à 16:48
Signaler
"Certes, si l'Allemagne venait à sortir de la monnaie unique, le retour à la compétitivité serait plus aisé" ... évidement que l'Euro est un échec et ces unions au forceps vouées à l'échec, même si on est fan de l'Europe il faut juste faire preuve de...

le 27/04/2013 à 22:28
Signaler
Je suis pro- Euro depuis longtemps , pour les valeurs communes , pour avoir une monnaie "équivalente" au Dollar, mais j'avoue qu'au vu du système et de l'impossibilité de se sortir des problèmes actuels (je ne suis pas le seul a le penser, entreprene...

à écrit le 27/04/2013 à 15:20
Signaler
enfin un article d'économie que je comprends. merci Hans-Werner Sinn.

à écrit le 27/04/2013 à 15:09
Signaler
Le principe de réalité c'est l'échec total du pacte de stabilité. Et comme à l'impossible nul n'est tenu ben, peu importe le juridisme et les théories, chacun va chercher sa survie pour éviter un embrasement généralisé. Action/réaction : l'avenir spi...

à écrit le 27/04/2013 à 12:29
Signaler
une monnaie unique avec des intérêts différents suivant le taux d'exportation ... l'Allemagne mène la barque .... quitte à passer le bulldozer sur les pays du sud ... quand je vois les chiffres du chômage par ex...

le 27/04/2013 à 13:23
Signaler
@pmxr Analyse lucide, sous réserve que votre dernière phrase soit une antiphrase. Pépère dirige la France, comme le PS par le passé, avec la même méthode: susciter les confrontations en France et en Europe pour apparaître ensuite comme le rassembleur...

à écrit le 27/04/2013 à 12:16
Signaler
si l'Allemagne quittait l'Euro, alors on aurait intérêt à lui emboiter le pas car il n'y aura plus de bailleur de fond pour soutenir le dil Européen pour soutenir la monnaie.

le 27/04/2013 à 12:35
Signaler
fiction : créer l'euro du Sud à parité avec l'euro du Nord (au départ) ... afin d'avoir deux zones euros !

à écrit le 27/04/2013 à 11:19
Signaler
ben si les pays du sud diminuent leur prix de 25%, donc j'imagine aussi les revenus de leurs habitants d'autant, comment ils vont faire pour acheter les BM, Porches et Audiit de Messieurs les Allemands ? Quand a l'argument juridique du 'ce n'est pas ...

le 27/04/2013 à 13:28
Signaler
Cela depend ce que vous voulez. Les salaires elevés, bien sûr tout le monde en veut. Mais il y a des conséquence des salaires elevées et cela s'appelle "chomage de masse" le masse salariale ne pouvant pas être egale ou supérieur à la somme des prix d...

le 27/04/2013 à 13:46
Signaler
@cad +1 pour l'éclairage. Les deux points de vue sont plus clairs.

à écrit le 27/04/2013 à 11:02
Signaler
Il faut sortir de l'euro pour retrouver notre liberté de gestion et redonner de l'avenir en France a nos enfants aussi je voterai MLP a toutes les prochaines élections.

le 27/04/2013 à 11:21
Signaler
@jjl L argument de la sortie de l euro trouve rapidement ses limites quand toutes les economies europennes rivaliseront alors de devaluation monetaire qui des lors n amenera pas a gagner des parts de marche mais a creer de l inflation. Certes tres bi...

le 27/04/2013 à 11:41
Signaler
Guérir d'une folie, bien souvent ce n'est qu'en changer.

le 27/04/2013 à 12:17
Signaler
Il y aura certes un trou d'air mais aussi une redistribution des cartes. L'horizon de la France ce n'est pas que l'Europe mais aussi d'autres pays avec qui on contrôlera nos échanges de telle sorte qu'ils soient équitables. A un moment donne, quand u...

le 27/04/2013 à 12:34
Signaler
Alors qu'est que vous proposez ? Rester ou risquer une folie avec MLP ? Je suis intimement convaincu que ce n'en est pas une même s'il faut s'attendre a des cris et des pleurs chez certains bénéficiaires du système actuel lorsqu'il faudra remettre de...

le 27/04/2013 à 13:05
Signaler
Deux dangers ne cessent de menacer le monde : l'ordre et le désordre.

le 27/04/2013 à 16:29
Signaler
risquer une "folie" avec MLP.....actuellement, c'est quoi avec l'EU ? et l'avenir que nous avons avec ce président??(l'autre, n'était pas mieux !), c'est de quelle nature?

à écrit le 27/04/2013 à 8:44
Signaler
Arrêtez de prendre les gens pour des idiots en les stigmatisant et les taxant d'eurosceptiques lorsqu'ils ne sont pas d'accord avec vous et allez prendre des cours de démocratie, ça ne vous ferait pas de mal....Et si ne pas être d'accord avec vous c'...

à écrit le 27/04/2013 à 8:15
Signaler
@ V Comme Vaseline je vous suis entièrement + UN !

à écrit le 27/04/2013 à 7:58
Signaler
Vous dites: "L'euro a permis à ces pays d'accéder au crédit à bas prix, lequel a été utilisé pour financer des augmentations de salaires qui n'ont pas été soutenues par des gains de productivité." Je suis désolé de vous contredire: en Espagne en part...

le 27/04/2013 à 11:26
Signaler
Comment cela s'est passé en Espagne je ne sais pas. Mais il est bien connu que c'est passé exactement comme cela en Grèce. Je me demande toujours où les aides structurales européennes donné à la Grèce sont allées. Aussi j'aimerais que quelqu'un me di...

le 27/04/2013 à 16:31
Signaler
humm...un peu évasif" comme réponse...

le 27/04/2013 à 16:46
Signaler
En Espagne, j'en ai été témoin, beaucoup de Fonds Structurels Européens ont été systématiquement détournés dans des puits sans fond. Il était très courant à une époque de voir des panneaux d'avis de travaux publics avec le logo étoilé de l'UE complè...

à écrit le 27/04/2013 à 7:24
Signaler
Cher Monsieur, ci-joint, un petit rappel de la réalité...et non une profession de foi européiste: Soros est en tort car l'article 125 interdit la mutualisation de la dette?... Mais par contre quand l'Europe s'assoit sur tous les traités européens, en...

le 27/04/2013 à 7:59
Signaler
BRAVO !! très véridique votre commentaire, très explicite...++++++10000000 ! MERCI

le 27/04/2013 à 9:35
Signaler
Euro ou pas, les états dépensent trop et taxent trop, et c'est là qu'est le problème... Si le budget Italien avait été équilibré depuis 30 ans, ils n'en seraient pas là. Le seul problème de l'Euro est qu'il interdit la dévaluation, sport très pratiqu...

à écrit le 27/04/2013 à 0:21
Signaler
Les ecolos ont théorisé la décroissance, Merkel la met en oeuvre. Vous êtes écolo , votez Merlel ! Je suis écolo, depuis que j'ai compris cela , j'adore Merkel , j'espère que les Allemands voteront pour elle et que nous la garderont en Europe comme g...

à écrit le 26/04/2013 à 23:31
Signaler
Très bonne analyse en effet mais çà prend du temps et demande des efforts et des reéquilibrages d'excès et d'abus de certains qui s'accrochent à leurs avantages aquis. Et il est bien préférable de rester dans l'euro que d'en sortir comme le prétenden...

à écrit le 26/04/2013 à 23:24
Signaler
Très bonne analyse en effet mais çà prend du temps et demande des efforts et des reéquilibrages d'excès et d'abus de certains qui s'accrochent à leurs avantages aquis.

à écrit le 26/04/2013 à 22:23
Signaler
Pour se coller à de tels impératifs de soit-disant compétitivité, ce n'est le modèle allemand qu'il faut calquer mail le modèle chinois. Ceci étant, on est sur la bonne route...

le 26/04/2013 à 23:42
Signaler
La chose la plus importante dans le modèle chinois c'est que c'est une dictature ou le syndicalisme et interdit et ou les manifestations sont matées a coup de matraque et de camp de travail. Pour être efficace il faut mettre en place en France un rég...

le 27/04/2013 à 7:41
Signaler
Après le second degré de Sino qua non à 22:23, nous avons droit au troisième degré à 23:42. L'horreur c'est que certains puissent prendre ces messages au premier degré.

le 27/04/2013 à 8:52
Signaler
Nous en avons des tonnes comme ca en France, la Chine ils ne savent même pas ou c'est ils ont même peur de rentrer dans un restaurant Chinois des Champs Elysées ou l'on risquerait de leur servir de la viande de Chien a leur insu.... Quand on éructe a...

le 27/04/2013 à 19:55
Signaler
Le fascisme contre les chinoiseries! Quelle bonne idée! Mais moi, j'en ai encore une meilleure: rappelons Jésus-Christ, lui au moins il fait des miracles - et sans tuer les gens...

à écrit le 26/04/2013 à 21:50
Signaler
Faut-il sortir de l'Euro de Jacques Sapir, éditions du Seuil (2012) De la Grèce à l'Italie, en passant par l'Irlande, le Portugal et l'Espagne, la zone Euro est en feu. La Monnaie Unique censée nous protéger se révèle un piège dangereux. Tout cela av...

le 26/04/2013 à 23:21
Signaler
C'est achever la construction européenne avec plus de démocratie, harmonisation fiscale, budgétaire, contrôle etc. qui est nécessaire. Une sortie de l'euro serait un recul en arrière terrible dans le monde actuel avec éclatement de l'Europe retrouvan...

le 27/04/2013 à 8:13
Signaler
votre dernière réflexion n'engage que vous ! cette EU n'aura apporté que misérabilisme à tous les pays concernés , et le desespoir pour les individus ! alors que ceux ci avant l'europe se portaient pas mal tout compte fait, le bilan est absolument n...

le 27/04/2013 à 11:18
Signaler
On ne sait certainement pas que cela fait un demi-siècle que ce refrain nous est rabâché. Le résultat du foirail délétère obtenu n'est certainement pas une réussite ; demandons s'ils avancent ou s'ils reculent aux Grecs Espagnols, Portugais,Français....

le 27/04/2013 à 23:24
Signaler
Le problème de l'Espagne, Grèce, Portugal, Chypre etc ne sont pas liés à l'Europe mais à l'absence de finalisation de l'Europe. Casser l'Europe ou l'euro serait une catastrophe, le passé nous le rappelle avec des conflits permanents et une balkanisat...

à écrit le 26/04/2013 à 19:49
Signaler
" La seule option restante consiste a reserrer les contraintes budgetaires au sein de la zone Euro" J'espere que l'Anglais de Martin Morel est approximatif et qu'il n'a rien compris a l'article qu'il a traduit parceque reserrer les contraintes budget...

le 26/04/2013 à 21:08
Signaler
il semble que l'austérité en Espagne soit surtout celle des dépenses publiques. Les entreprises continuen tant bien que mal et le noir travail est toléré part l'administration dont les ailes sont coupées.

le 27/04/2013 à 9:56
Signaler
Vous avez peut etre raison et j'espere que les nombreux chomeurs travaillent au noir mais ce n'est quand meme pas la meilleure solution car ils sont exclus des prestations sociales et des retraites. Pour moi, la meilleure solutiona long terme, aussi ...

à écrit le 26/04/2013 à 17:15
Signaler
La logique du raisonnement est irréfutable, mais l'hypocrisie européenne tout autant et depuis deux à trois décennies. La comédie de la BCE n'est qu'une mauvaise farce, pour masquer les réalités gouvernementale et populaire des diverses ou antagonist...

à écrit le 26/04/2013 à 17:04
Signaler
La démarche de Soros montre l'isolement politique des conservateurs allemands au niveau continental.

le 26/04/2013 à 18:07
Signaler
@loone. ah bon ? isolement politique au niveau continental ? Quel continent ? le vôtre sans doute, le coin rue Solférino oú les fumées idéologues du 18 ième siècle survivent. Tous les pays Nordiques, la Pologne, les Pays Bas, la Belgique, le Luxembo...

le 26/04/2013 à 19:15
Signaler
Incompetence , oui mais Francaise ! Ce qui apporte une plus value certaine.

le 26/04/2013 à 19:30
Signaler
@mirabeau Les Pays-Bas et la Belgique ont reporté leur ojectif de retour à l'équilibre budgétaire et ne respecteront pas leurs engagements initial pour 2013. On ne peut pas dire que ce soit dans la ligne Merkel comme attitude. Lentement mais sureme...

le 26/04/2013 à 19:55
Signaler
@mirabeau, pour compléter, L'Allemagne a des échanges commerciaux avec la Russien une coopération économique et énergétique importante. S'il y a un pays isolé c'est la France.

le 27/04/2013 à 0:11
Signaler
L'Allemagne est en recession , certes avec un chômage a 7% mais en récession quand même. Comme quoi l'accumulation de mini jobs permet de truquer les chiffres du chômage mais pas de créer une réelle économie forte. L'exportation associée à l'austérit...

à écrit le 26/04/2013 à 17:03
Signaler
Un mauvais article, une mauvaise analyse, de mauvais arguments et une synthèse fausse, difficile de faire pire ! Le problème de l'Europe ce n'est pas l'Euro, c'est la BCE qui est aux mains des allemands -contrairement aux textes- ! -L'Euro est trop ...

le 26/04/2013 à 17:30
Signaler
Bravo. Très bien dit.

le 27/04/2013 à 0:15
Signaler
Il est vrai que la peur de l'inflation par les temps qui courent en Europe relève plus du domaine de la psychiatrie que de l'économie.

le 27/04/2013 à 7:09
Signaler
L'abus d'inflation est dangereux pour l'économie, à consommer avec modération.

le 27/04/2013 à 9:28
Signaler
@libertad46 : C'est très séduisant de vouloir monétiser 25% de la dette, mais vous devriez comprendre que les états ne s'arrèteront pas à 25%, et que l'hyperinflation sera au bout du chemin.

à écrit le 26/04/2013 à 15:20
Signaler
Français, préparez vous à prendre une belle pomme sur vos contrats d'assurance-vie, à voir vos livrets A ponctionnés d'une "taxe exceptionnelle" de 30 ou 40 % sur le capital, et à ne pouvoir retirer qu'une faible fraction de votre compte bancaire. Qu...

le 26/04/2013 à 15:52
Signaler
Et en plus Odilon va vous couper la tête, en personne

le 27/04/2013 à 9:24
Signaler
@ a ça ira : vous faites monter le niveau du débat. Odilon a parfaitement raison, et d'ailleurs la confiscation de l'or a eu lieu en 1933 aux USA...

à écrit le 26/04/2013 à 15:00
Signaler
Faillite ou sortie ce sont les épargnants (et particulièrement les détenteurs d'assurance-vie) qui vont trinquer. Placement sans risque qu'ils disaient. Je peux comprendre que beaucoup de gens ne veulent pas entendre parler de ces solutions.

à écrit le 26/04/2013 à 14:33
Signaler
Soros est un speculateur mais aussi un observateur. Je pense qu'il a raison en evoquant une sortie de l'Allemagne tout simplement parce que l'Allemagne oujourd'hui est le pb de l'Europe. Durant la periode de credit facile commele dit ce Monsieur cert...

le 26/04/2013 à 16:25
Signaler
Je pense que dans votre court descriptif de cet homme, vous oubliez un élément essentiel: c'est avant tout un manipulateur et un agent d'influence au sens exact du terme.

à écrit le 26/04/2013 à 14:32
Signaler
sortir de la zone euro ou faire faillite pour les états revient exactement au même, cad à éponger d'un coup les dettes. Sauf que la faillite des états sera précédée par une longue période de déflation, insupportable pour les peuples. Alors autant sor...

le 26/04/2013 à 15:15
Signaler
@john galt Sortir de la zone euro ne permet pas d'éponger d'un coup les dettes. La dette publique a été contractée en euros. Si d'autres pays conservent l'euro, cette dette restera exigible en euros. C'est un scénario favorable pour l'Allemagne si el...

le 26/04/2013 à 15:27
Signaler
Eponger les dettes d'un seul coup me parait probable : taxe exceptionnelle de 30 ou 40% sur le capital des Français : immobilier, contrats d'assurance vie, livret de Caisse d'Épargne, compte en banque, etc... Ce qui est sur, c'est qu'un État en faill...

le 26/04/2013 à 15:36
Signaler
@Midas Oui , oui, la sortie de la zone euro entraine immédiatement le défaut de l'État français, donc la faillite des banques françaises et la perte par les français de leur compte en banque et autres actifs bancaires. C'est comme cela que la dette ...

le 26/04/2013 à 15:40
Signaler
@ Midas : en sortant de la zone euro, la banque centrale du pays sortant pourra émettre des euros, et en déclenchant une inflation terrible, elle épongera les dettes. Chaque banque centrale a le pouvoir d'émettre de l'euro, sauf que c'est un euro dép...

le 26/04/2013 à 16:39
Signaler
Il y a l'option de ne monétiser qu'une partie de la dette pour en diminuer le service. Ca permettrait de se donner de l'air et de dégager des marges pour diminuer, par exemple, les charges qui pèsent sur les PME. Apres il faut diminuer la taille de l...

le 26/04/2013 à 16:40
Signaler
Si celui qui sort est l'Allemagne, ça résoudra les problèmes des autres, qui y resteront. C'est une suggestion de G Soros. Il en attend certainement des bénéfices ...

le 26/04/2013 à 17:47
Signaler
@john galt Si vous sortez de l'euro et provoquez volontairement ou involontairement une forte inflation, vous devrez lutter contre la fuite des capitaux et un effondrement de l'économie. Une sortie de l'euro ordonnée impose au contraire, une lutte fa...

le 27/04/2013 à 10:37
Signaler
@Interets +1 suggestion constructive mais je crains que nos politiciens s'accomodent volontier de la première étape pour ensuite oublier les étapes suivantes.

à écrit le 26/04/2013 à 14:26
Signaler
Ou était ce Monsieur Hans-Werner Sinn il y a cinq ans, le venir le dire maintenant c'est trop tard, c'était bien avant qu'il fallait faire payer les spéculateurs et pas les contribuables.

le 26/04/2013 à 15:10
Signaler
Peut-être le disait il mais n'y avait t'il personne pour avoir envie de l'entendre, et à plus forte raison, de le relayer.

le 27/04/2013 à 9:23
Signaler
Les méchants spéculateurs ne sont pas responsables de la crise des états, ils n'en sont que le révélateur. Les spéculateurs jouent ils à la baisse sur la dette suisse? Non, car elle est à un niveau faible. Le vrai coupable c'est l'état léviathan, et ...

à écrit le 26/04/2013 à 14:18
Signaler
La question est bien que tel ou tel pays sorte de la zone euro, ce qui accélèrerait sa ruine et celle des capitaux qui y sont investis. Le peuples européens en ont vu d'autres et savent gérer collectivement. Mais s'adapter à la monnaie unique, ils ne...

à écrit le 26/04/2013 à 13:51
Signaler
Soros, en grand maître de la spéculation, sait que face au danger, l'émotion prend souvent le dessus sur le rationnel. Ses conseils visent à aiguiller les dirigeants vers une impasse. La panique des marchés ou des citoyens peut alors les contraindre ...

à écrit le 26/04/2013 à 13:35
Signaler
Le fossé se creuse chaque jour un peu plus entre la RFA et la France. Il suffit de parcourir chaque rive du Rhin. C'est patent.

le 26/04/2013 à 13:54
Signaler
Insinuez-vous que la France ressemble chaque jour un peu plus à l'ex-RDA ?

le 26/04/2013 à 15:14
Signaler
Surtout que j'ai bien connu la RDA. J'étais la nuit de la construction du mur à Berlin en 1961. Par la suite j'ai traversé plusieurs fois ce pays. Entre Berlin et Frankfurt/Oder : pas une seule voiture. Que des forêts. Sur un vol RFA-Berlin les avion...

le 26/04/2013 à 15:40
Signaler
@Jean Philippe Pas encore mais elle en prend le chemin. La faute à nos politicards de tous bords, qui préfèrent s'occuper d'abord de leurs carrières au détriment de la France et des français. N'est pas De Gaulle qui veut! Les allemands étaient en pl...

le 26/04/2013 à 17:08
Signaler
En 1961 , peut être à 20 ans ? Donc vous devez avoir environ 75 ans.......Le néant vous le verrai bientôt, mais sans aucun rapport avec l'Euro ! Laisser les jeunes décider de leur avenir.Bien peu de jeunes veulent devenir les esclaves de Mme Merkel. ...

le 26/04/2013 à 22:44
Signaler
que savez vous du néant" qui n'a aucun rapport avec l'euro, monsieur? et que je verrai bientot, d'après vous?? savez vous lire dans le marc de café, pour affirmer qu'il existe "le néant" après la vie?.......ni vous, ni moi ne pouvons avancer qu'il y ...

le 27/04/2013 à 9:15
Signaler
@libertad46 : Votre attaque sur l'age de Gilles1 est minable. Vous passerez peut être de l'autre coté avant lui, alors n'écrivez pas ce genre de chose! Il se trouve que j'ai vécu quelques années à Berlin Ouest avant la fin du mur, et que j'ai vu le s...

à écrit le 26/04/2013 à 13:10
Signaler
Enfin un discours réaliste et honnête! Que les spéculateurs soient sanctionnés pour leurs erreurs liées à leur cupidité, et que les états soient sanctionnés pour leurs errements budgétaires, sans que les citoyens et consommateurs n'en paient une fois...

le 26/04/2013 à 14:01
Signaler
@carpatrick Lorsqu'un Etat est ruiné, ce sont les citoyens qui trinquent et d'autres spéculateurs qui triomphent ! Je ne pense pas que ce soit votre souhait.

le 26/04/2013 à 14:03
Signaler
Bien d'accord avec vous. Par contre si les etats sont en faillite, les citoyens en paieront plein pot les consequences, et surtout les plus faibles et les plus demunis... Donc on essaye de faire des ajustements "en douceur", comme ce qui se passe a l...

le 26/04/2013 à 14:08
Signaler
Vous appelez quoi errement ? Le pouvoir n'a pas eu d'errement, il a soutenue le pays à bout de bras pendant la crise ,sinon ,c'était l'effondrement complet et pour soutenir le pays ,alors que les recettes plongeaient ,les depenses ont étés maintenue...

le 26/04/2013 à 14:26
Signaler
Vous faites assez bien votre job de communicant. Sauf que si l'état est en faillite, en premier lieu, ce sont nos banquiers qui trinquent et non pas les citoyens. La France comme les autres pays de l'ue ne paiera pas sa dette, c'est juste impossible....

le 26/04/2013 à 15:29
Signaler
Vous oubliez juste que les banquiers en faillite ne rembourseront pas non plus votre compte en banque. Comme à Chypre !

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.