Une bise scandaleuse enflamme le tapis rouge. C'est l'histoire que nous conte, cette semaine, Claude Askolovitch.
À l'origine de tout ce tapage : la "faute" commise par l'actrice iranienne Leila Hatami le soir de la cérémonie d'ouverture du Festival de Cannes. "Symbole de chasteté et d'innocence" féminine dans son pays, la belle s'est attirée les foudres des autorités iraniennes en embrassant le président du Festival, Gilles Jacob.
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