Casses, infractions, affrontements, menaces envers des journalistes, intimidations d'élus... Le mouvement des Gilets jaunes a été émaillé d'actions violentes auxquelles la police, largement mobilisée, a répondu par un usage de la force qui a également été jugé disproportionné ou inapproprié. Quelle forme de violence reste acceptable dans un État de droit ?