Italie : le pire des scénarios ?
La confusion règne en Italie où les projections donnent la coalition de centre-gauche de Pier Luigi Bersani gagnant devant Silvio Berlusconi à la Chambre des députés. En revanche, ce dernier pourrait obtenir la majorité des sièges au Sénat,...
La livre sterling se stabilise autour de l'équilibre, après avoir lourdement chuté face au dollar, après le déclassement du Royaume-Uni par l'agence Moody's. L'euro, lui, est en vive hausse.
51 millions d'Italiens votent les 24 et 25 février pour renouveler leur parlement. Les réformes engagées par le président du conseil sortant, « Il Professore » Mario Monti, n'ont pas produit les résultats escomptés aux yeux d'une populatio...
Les Italiens renouvellent leur parlement dimanche et lundi. Un scrutin à haut risque pour l'Europe en raison de la remontée de Silvio Berlusconi. Revue des scénarii possibles.
Alors que le ministre allemand de l'économie réclame la poursuite des politiques « de réforme nécessaire », un député chrétien-démocrate met en garde contre le Cavaliere à moins d'une semaine des législatives italiennes.
La chronique quotidienne de la Tribune inspirée par l'actualité. Aujourd'hui, l'économie américaine s'est de façon surprenante contractée, Israël perd un pilier avec la démission de Stanley Fischer et l'Egypte court le risque croissant de s...
En Allemagne, une alliance de gauche a renversé le gouvernement régional de coalition des conservateurs et libéraux en Basse-Saxe.
Pour empêcher le Cavaliere de jouer les arbitres après les élections, le président du conseil pourrait s'allier avec le centre-gauche. Mais cette stratégie présente également des risques.
Encouragé par des sondages favorables, le président du conseil italien propose désormais de baisser les impôts et veut se démarquer d'Angela Merkel.
Le journal du Saint-Siège, L'Osservatore Romano, ne tarit pas d'éloges sur le président du conseil. Un appui bienvenu et intéressé.
Revue des scénarios qui permettraient au président du conseil italien de se maintenir au pouvoir.
Le chef du gouvernement italien démissionnaire Mario Monti semble peu enclin à se présenter aux élections législatives de février.
Selon La Repubblica, Mario Monti sera candidat officiellement au poste de chef du gouvernement ce week-end. Avec un programme de réformes et un argument de poids : le spread.
Le PLD qui vient de gagner les législatives s'est posé en "parti réaliste" privilégiant les défis économiques du pays.
La production industrielle du pays a enregistré en octobre une progression de 8,2% sur un an, qui laisse entrevoir un espoir de reprise de l'activité de la troisième puissance économique d'Asie.
La droite, agacée par les propos anti-berlusconiens d'un ministre, a voté contre le gouvernement au Sénat. Le centre-gauche demande des élections anticipées et la démission de Mario Monti.
La victoire de Pier Luigi Bersani lors des primaires du centre-gauche italienne pourrait profiter à l'actuel président du conseil italien.
Le parlement allemand a donné son accord par 473 voix contre 100 aux décisions de mardi dernier. Angela Merkel a encore dû renoncer à sa "propre" majorité pour valider sa politique européenne.
New Delhi a affiché une croissance ralentie à 5,3% sur un an lors du trimestre allant de juillet à septembre.
Le Bundesrat allemand, contrôlé par la gauche, devrait rejeter vendredi «l'accord Rubik» signé avec Berne. Mais Berlin promet 3 milliards d'euros aux Länder s'ils adoptent le texte...
Un nouveau parti politique veut créer une "base électorale" pour le président du conseil italien qui semble ouvrir la voie à sa reconduction.
Le premier ministre lituanien, qui avait mené une politique de réduction des déficits, a subi une large défaite dans les urnes ce dimanche. L'opposition a promis une hausse du salaire minimum et un impôt sur le revenu progressif.
Le Cavaliere a annoncé ne pas briguer de quatrième mandat de premier ministre l'an prochain. Il appelle à l'unité des "modérés" derrière Mario Monti.
Le président du conseil italien ne fera pas la course à sa propre succession. Pas sûr pour autant qu'il abandonne son poste après le scrutin du mois d'avril.