Impôts et taxes, tout ce qui change en 2011
Le budget 2011 comporte de nombreuses mesures d'économies. Pour les ménages comme pour les entreprises, cela signifie des changements en matière d'impôts et de taxes. Tout le détail dans cet article.
Le budget 2011 comporte de nombreuses mesures d'économies. Pour les ménages comme pour les entreprises, cela signifie des changements en matière d'impôts et de taxes. Tout le détail dans cet article.
Chronique de Jean-Yves Lefevre, chargé de cours à l'université de Paris-Dauphine et dirigeant du Cabinet Lefevre & Associés.
Selon l'Insee, le PIB de la France va continuer à croître au premier semestre 2011 à son rythme actuel. Grâce, encore et toujours, à la consommation des ménages.
Réduction d'impôts, abattements, exonération d'ISF... Le Royaume fait tout pour inciter les retraités français à venir s'installer.
La Commission Mixte Paritaire a rendu ses décisions. Revue de détail.
Les solutions sont nombreuses pour payer moins d'impôts. Pour vous y aider, Laurent Benoudiz, Président du Club Fiscal de l'Ordre des experts-comptables, région Paris Ile-de-France, a répondu à vos questions mercredi 15 décembre.
Députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire ont ramené l'ISF PME à 50 %.
Dispositif ISF PME, taxe Google, crédit impôt recherche, publicité sur France Télévisions : découvrez tou...
Par Marc Fiorentino, d'Allofinance.com.
Christian Saint-Étienne, professeur d'économie au Conservatoire national des arts et métiers, souligne que, partout, les prestations sociales ont été coupées... sauf en France.
Le coup de rabot fiscal de 10% va toucher vingt-deux niches. Vous pouvez encore souscrire à des FIP et FCPI, des fonds investissant dans les PME, ou à un placement locatif Scellier.
"La Chambre n'a pas été consultée pendant les négociations qui ont produit ce compromis, et notre soutien ne peut être tenu pour acquis maintenant ou à l'avenir", a expliqué le représentant démocrate Raul Grijalva.
Les places américaines profitent ce jeudi du recul plus important que prévu des demandes hebdomadaires d'allocation de chômage.
Un amendement adopté en commission des Lois de l'Assemblée nationale prévoit jusqu'à deux ans de prison pour les députés.