Classiquement, le repreneur d’une entreprise doit affecter une partie de sa rémunération au remboursement de sa dette d’acquisition de la société. Un système doublement pénalisant quand on sait que cette rémunération est à la fois soumise aux charges sociales et à l’impôt sur le revenu, et que les intérêts d’emprunt ne peuvent pas être déduits des revenus. La mise en