Pourquoi vous êtes-vous lancé dans l’impression 3D ?
Philip Bosshard : Quand j’ai débuté, il y a 20 ans, nous étions 15 000 imprimeurs en France. Aujourd’hui, il en reste environ 2 500. Dans cinq ans, on en comptera peut-être 1 000 à 1 200. Nous sommes dans un secteur en difficulté, il faut donc trouver de nouvelles pistes pour tenir. Pour durer, je crois beaucoup à