Qui n'a pas entendu, dans la Silicon Valley, un chef d'entreprise raconter avec délice ses déboires passés ? De fait, de l'autre côté de l'Atlantique, l'échec est quasiment érigé en religion. Aux yeux d'un investisseur, en effet, c'est un gage de maturité : vous n'en êtes pas à votre premier coup d'essai, on peut donc vous faire confiance ! Les choses sont quelque peu différentes en France, même si les mentalités évoluent. L'échec est encore mal perçu - et mal vécu. Pourtant, surtout si vous avez lancé votre start-up (selon les statistiques de l'Insee, près de la moitié des start-up font faillite dans les cinq années qui suivent leur création), vous devez envisager la possibilité d'un échec. Comment y faire face ? Comment rebondir...