La perte du sacro-saint triple A ne rime pas forcément avec abomination. Si du côté des crédits immobiliers, la tendance sera certainement au relèvement des taux, les marchés actions ou obligataires devraient se stabiliser à l'image de ce que l'on a pu voir aux États-Unis depuis l'abaissement de leur note en août dernier. Seules les banques et les compagnies d'assurances risquent encore d'être en première ligne.