Alors que les négociations entre General Motors et les repreneurs éventuels de sa filiale européenne Opel traînent en longueur, la chancelière allemande Angela Merkel a répété préférer l'offre présentée par l'équipementier auto canadien Magna
Berlin suit le dossier de près car Opel est très présent en Allemagne où il compte plusieurs usines. Et le repreneur devrait bénéficier de soutiens financiers ou de garanties de la part du gouvernement allemand.