Cinq chiffres sur les déchets urbains renouvelables

Par Article partenaire - Enedis  |   |  194  mots
(Crédits : DR)
Qu’advient-il des déchets urbains renouvelables ? Depuis de nombreuses années, leur valorisation passe par la combustion ou la méthanisation permettant de produire de l’électricité. Déchets minéraux non dangereux, dangereux non inertes ou dangereux, ils sont environ 69 % à être valorisés. Afin d’en savoir davantage sur cette filière, voici quelques chiffres clés.

Les déchets urbains renouvelables sont ceux produits par les foyers ou les industries que l'on peut transformer en énergie.

Une valorisation énergétique en progression constante

Si l'on constate une progression continue de la valorisation énergétique, il reste encore beaucoup à faire en matière d'optimisation. Parmi les perspectives d'avenir, la filière des Combustibles solides de récupération (CSR) devrait être l'objet de toutes les attentions.

48 millions :

C'est le nombre de tonnes de déchets ayant été envoyés vers des installations accueillant les déchets ménagers ou assimilés en 2016.

2025 :

C'est l'horizon auquel le plan déchets prévoit de diviser par deux par rapport à 2010, le nombre déchets non dangereux non inertes incinérés dans des installations n'atteignant pas le critère d'efficacité énergétique. Il prévoit également la disparition de l'incinération sans aucune valorisation énergétique.

2220 GWh :

La production électrique de 2017 issue de la valorisation des déchets urbains renouvelables.

222 millions d'euros :

Le chiffre d'affaires de la filière déchets urbains renouvelables.

126 :

Le nombre d'UIOM (Unités de Valorisation Énergétique) en France, dont 113 sont équipées d'un dispositif de valorisation énergétique.