Trou d'air financier et social pour les compagnies aériennes

Par latribune.fr  |   |  175  mots
Air France-KLM doit renoncer à son plan de développement low cost et voit Alitalia dont il détient 25% du capital afficher encore des pertes. All Nippon Airways prévoit de perdre cette année trois plus d' argent que prévu, British Airways est menacé d' une grève dure... Le secteur continue à broyer du noir.

Si le trafic aérien se redresse depuis quelques mois, les compagnies aériennes, elles, ne sont pas sorties du trou d' air, loin de la. Menaces de grèves et pertes financières continuent à peser sur leur activité, un peu partout sur la planète.


Air France-KLM doit renoncer à son plan de developpement low-cost et voit Alitalia dont il détient 25% du capital afficher encore des pertes, All Nippon Airways prévoit de perdre cette année trois plus d'argent que prévu, British Airways est menacé d' une grève dure... Le secteur continue à broyer du noir.
 

Le fait que la crise ait amené de plus en plus de passagers à quitter les places à "haute contribution" (business-affaire et première) pour s'installer vers l'arrière de l'avion en classe "eco" pèse sur le compte d'exploitation des transporteurs. Même s'ils essaient en permanence de s'adapter a l'image d' Air France-KLM, en réduisant leur offre ou en installant de nouveaux sièges et de nouvelles cabines à mi-chemin entre l'"éco" et la business.