L'AMF indique dans un communiqué que les faits reprochés à la société de gestion et à son dirigeant remontent à 2009 mais ne précise pas les actions sur lesquelles a eu la manipulation de cours.
"La Commission des sanctions a estimé que le manquement de manipulation de cours (...) appelait le prononcé de sanctions professionnelles et pécuniaires d'autant plus sévères qu'il avait été commis par une société et une personne physique qui ont déjà été sanctionnées en cette qualité à deux reprises, en 2003 et 2004", souligne l'AMF.
L'autorité de surveillance des marchés financiers indique que la décision peut faire l'objet d'un recours.
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