A Paris, le CAC 40 a terminé en hausse de 0,43%, à 3.424,71 points, tiré par les valeurs bancaires, Société générale et Crédit agricole ayant affiché les meilleures performances de l'indice, avec respectivement +5,39% et +3,27%.
La hausse du CAC est freinée par l'action GDF Suez, qui a chuté de 4,81% après que le groupe de services aux collectivités a fait état de perspectives jugées décevantes.
La Bourse de Francfort a pris 0,59% et celle de Londres 0,33%. L'indice Stoxx 600 a gagné 0,24%, l'indice sectoriel regroupant les valeurs bancaires européennes enregistrant une hausse de 0,63%.
Ce sont toutefois les valeurs automobiles qui enregistrent la hausse la plus marquée de la cote européenne (+2,93%), grâce notamment à un bond de près de 4,62% de l'action Daimler.
Sur le marché des changes, l'euro évoluait à un plus haut de deux mois face au dollar après l'annonce d'un accord en Grèce. A la faveur de cet accord, certains intervenants voient l'euro atteindre à court terme la barre de 1,35 dollar pour un euro, même si, à plus long terme, la monnaie unique est susceptible d'être handicapée par une possible baisse des taux de la BCE.
L'accord en Grèce a également influencé le marché obligataire. Le cours des Bunds allemands est tombé à un plus bas de trois semaines après cette annonce tandis que l'écart de rendement entre obligations des autres pays de la zone euro et le papier de référence allemand se resserrait.
« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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