
Le moral des ménages en France s'est nettement replié en janvier après avoir rebondi en décembre, la part de ceux qui veulent épargner se rapprochant de son plus haut niveau historique, a rapporté l'Insee mercredi.
"L'opportunité de faire des achats importants" est en "nette baisse", tandis que celle d'épargner est "en très forte augmentation", précise l'Institut national des statistiques.
Le pessimisme des ménages proche des records de 1994 et 1995
Sur fond de regain d'intensité de l'épidémie de Covid-19, la part des ménages qui juge qu'il est opportun d'épargner progresse ainsi "très fortement" et "rejoint son niveau de décembre 2012, très proche de son plus haut historique", atteint en 1994 et 1995, relève encore l'Insee dans son communiqué.
L'indicateur synthétique qui reflète le moral des ménages perd trois points, à 92 points, contre 95 points atteints en décembre, et une moyenne de longue période qui est de 100.
L'indicateur qui reflète la propension des Français à consommer ou à épargner était tombé en novembre à 89, son niveau le plus bas depuis la crise des gilets jaunes en décembre 2018.
"En janvier, la proportion des ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants baisse nettement", selon le communiqué qui ajoute que le solde d'opinion des ménages par rapport à leur situation financière future se détériore fortement, même si ce solde reste meilleur qu'en novembre.
sinon qui a envie d'acheter une voiture pour se faire traiter de tous les noms par les ecolos?
va y avoir une bonne crise sociale, ca sera de la bonne decroissance, avec plein de chomeurs et de bruits de bottes!
et la les memes ecolos pourront accuser l'ultraneocapitalisme medef mondialise d'etre responsable, et sans honte ni pudeur
En matière de bas de laine, c’est le revenu qui fait la différence. Les 20 % du bas de l’échelle épargnent en moyenne 1 500 euros par an, soit l’équivalent de 7 % de leurs ressources. Ces 20 % rassemblent à la fois des ménages totalement démunis, qui ne font aucune économie, et des familles modestes, qui ne dépensent pas l’ensemble de leurs revenus et donc épargnent. À l’opposé, les 20 % les plus riches épargnent en moyenne 22 800 euros chaque année, soit presque 30 % de leur revenu ou encore l’équivalent de l’ensemble des revenus annuels des 20 % les plus pauvres. À l’intérieur de ce cinquième le plus riche, les écarts sont encore plus grands : on y trouve aussi bien le haut des couches moyennes que les ménages les plus riches du pays, dont les économies sont largement supérieures à 22 800 euros par an.
La publicité, l'engeance suprême de la consommation de masse.
Ça ne serait pas plutôt l'inverse ?
A t'on vraiment les dirigeants économiques et politiques que l'on mérite ? Non, même si le consommateur est un être particulièrement ininteressant il reste plus éveillé que l'actionnaire milliardaire qui lui massacre le monde et l'humanité en ronflant.