Alors que les grands indices retrouvent des plus-bas de plus de six ans, ceux des petites et moyennes valeurs s'en sortent mieux sur la place parisienne depuis le début de l'année. Un phénomène d'autant plus surprenant qu'il intervient alors que le marché manque, plus que jamais, de visibilité sur un rebond à venir de l'activité des entreprises. Cette bonne résistance est néanmoins à relativiser. Elle s'explique en premier lieu par la fin d'une pression baissière sur ce compartiment. En outre, elle s'apprécie au regard d'une forte baisse du CAC 40, pénalisé par sa forte composante « banques et assurances ». Page 18

latribune.fr

07 Mars 2009, 1:27

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