dorothee schmid Chercheur à l'Institut français des relation...

dorothee schmid Chercheur à l'Institut français des relations internationales.Comment expliquez-vous cette opposition française à l'entrée de la Turquie ? L'opinion française est fatiguée des élargissements, alors que l'Union doit déjà digérer douze nouveaux membres. Sans compter les craintes sur l'immigration que suscite la candidature turque. La campagne européenne joue sur cette peur. Les autorités d'Ankara s'agacent de cette lenteur et se sentent traitées comme des candidats de second rang. La désillusion est réelle.La Suède, favorable à la candidature turque, peut-elle relancer le processus lorsqu'elle prendra la présidence de l'Union européenne ? Cette présidence ne confère que peu de pouvoirs sur ce sujet. En outre, la non-reconnaissance de Chypre par Ankara reste un obstacle majeur. Propos recueillis par Claire FallouL'opinion française est fatiguée des élargissements, alors que l'Union doit déjà digérer douze nouveaux membres. flash interview
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