Entendu sur BFM

« Dans la mesure où ces hausses d'impôts sont mesurées, planifiées et ne sont pas considérées comme des religions irréversibles, elles peuvent être un instant de raison nécessaire. Aujourd'hui, les déficits publics sont à des niveaux qui ne sont pas soutenables. S'il faut en passer par une petite hausse d'impôts, naturellement accompagnée de réductions de dépenses, je pense que cela peut être un facteur de confiance. »Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôtsRetrouvez aussi d'autres grands témoins entendus sur BFM en page 11.
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