En annonçant mardi soir qu'il renonçait à vendre sa filiale ...

En annonçant mardi soir qu'il renonçait à vendre sa filiale européenne Opel, le premier constructeur automobile américain, General Motors, a provoqué la stupeur. En Allemagne, où politiques et syndicats ont bataillé durant des mois pour faire aboutir la reprise de cette entité de 50.000 salariés par l'équipementier Magna, c'est la colère qui domine. D'autant que GM veut supprimer 10.000 emplois en Europe. Le constructeur, tout juste sorti de la faillite, explique ce revirement par une amélioration de sa situation et du marché. En début de semaine, Ford avait déjà surpris avec un bénéfice opérationnel de 1,1 milliard d'euros au troisième trimestre. Un regain de forme qui a redonné confiance aux marchés et lui a permis de lever 2,3 milliards de dollars. Chrysler, enfin, n'est pas en reste. Il a atteint la rentabilité opérationnelle au troisième trimestre, a assuré hier soir Sergio Marchionne, le patron de Fiat, en détaillant le plan de revitalisation du plus petit des « Big Three ». Pages 2-3 et éditorial page 9
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