Marini voit le déficit public tutoyer les 3 % du PIB en 2008

Philippe Marini s'inquiète de la dérive de la charge de la dette, qui s'explique par le poids des obligations assimilables au Trésor (OAT) indexées sur l'inflation. À quelques jours de la présentation du projet de budget 2009, il plaide pour une clarification des prélèvements obligatoires, via notamment la suppression de certaines niches fiscales. Engagé dans la course à la présidence de la Chambre haute du Parlement, le sénateur de l'Oise estime avoir autant de chances de l'emporter que ses concurrents de l'UMP, Jean-Pierre Raffarin et Gérard Larcher.
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