La méthode pour ne pas apprendre l'anglais

Aujourd'hui, dans les entreprises, parler anglais est indispensable. Sinon point de réussite, voire point de salut. Hormis la possibilité de? faire croire qu'on parle anglais. C'est à cette stratégie ? un peu funambulesque certes ? mais très drôle que nous invite avec humour le livre de Simon Lafarge, pseudonyme derrière lequel se cachent Jean-Pierre Berman, Michel Marcheteau et Michel Salvio, directeurs de la très sérieuse collection « Langues pour tous » (Pocket). De conseils pratiques en conseils stratégiques généraux, ce « petit livre cadeau » fourmille de trouvailles pour aider tous ceux qui sont « handicapés vis-à-vis de l'anglais » car trop perfectionnistes, alors que dans les autres pays, y compris anglo-saxons, on pratique un « anglais fautif et brinquebalant avec efficacité et sans complexe ». Un exemple ? Exercez-vous à prendre un air ahuri en parlant anglais pour habituer votre boss et vos collègues. Les Anglais, eux, « y verront une marque de distinction », les Américains « ne s'en apercevront pas », et pour les Asiatiques ce ne sera que « la confirmation de ce qu'ils pensent des Occidentaux »... J. L.- A. « Mon boss croit que je parle anglais », de Simon Lafarge, éditions Pocket, 128 pages, 12,50 euros.
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