Parrot Cay, bienvenue au paradis des stars

Tout au sud de l'archipel des Bahamas, dans les îles Turques-et-Caïques, une île paradisiaque : imaginez quatre kilomètres carrés d'une terre luxuriante et fleurie toute l'année. L'air y est chaud, mais pas trop. La mer, turquoise et transparente, s'agite au rythme de vagues paresseuses qui se brisent sur une plage de cinq kilomètres de sable blanc. Une langueur très caraïbe vous saisit. Bienvenue à Parrot Cay. À une quarantaine de minutes de hors-bord de Providenciales, la capitale des Turques-et-Caïques, l'île est bien connue des milliardaires et des stars de la jet-set.Mais attention, qu'on ne s'y trompe pas, ici aucun « show off ». Rien qu'une ambiance de calme, de décontraction et la beauté d'une nature généreuse. Une fois passé le lobby central de l'hôtel - une grande bâtisse blanche à l'esprit colonial -, un buggy (électrique) vous emmène vers votre villa. Le majordome pousse la porte en bois tropical à claire-voies. Murs chaulés blancs, mobilier simple et confortable, immenses baies vitrées ouvrant sur la mer, avec, au loin, d'impressionnants rouleaux se brisant sur la barrière de corail. C'est un petit paradis rien que pour soi. Ce luxe et ce sentiment de finitude séduisent de nombreuses vedettes, qu'elles soient issues du cinéma (Hugh Jackman, Daniel Craig...), de la musique (Mick Jagger, Keith Richards...) ou de la mode à l'instar du top modèle Christy Turlington.À Parrot Cay, on peut à tout moment croiser une star au détour d'un couloir ou d'un chemin. Ce n'est pas pour autant que les regards se feront plus insistants. Une curieuse alchimie permet à des personnes connues de croiser d'illustres inconnus dans la boutique de l'hôtel, au bar ou au SPA sans la moindre incongruité. C'est d'ailleurs cette magie qui est palpable à tout instant. Si le coeur de l'île se concentre autour du lobby de l'hôtel avec les chambres très coloniales, la grande dimension de l'île permet d'avoir nombre de villas disséminées dans la forêt tropicale et donc de limiter les risques de rencontres inopportunes. C'est un luxe qu'apprécient des stars comme Bruce Willis ou Donna Karan qui possèdent tous deux une villa sur l'île. Un investissement doublement rentable puisqu'ils peuvent profiter des charmes de l'Atlantique, faire de la plongée, de la voile, bénéficier des soins exceptionnels du SPA en toute tranquillité... mais aussi rentabiliser leur investissement en le louant à des particuliers. La maison de Donna Karan, la Résidence, propose ainsi onze chambres, réparties dans trois somptueuses villas, décorées dans le style balinais cher à la créatrice new-yorkaise, avec vue à 360° sur l'océan. Un luxe qu'il est possible de louer pour tout de même 34.000 dollars la nuit (majordomes et cuisiniers inclus). Pour compléter l'offre disponible, le groupe Como, propriétaire du Parrot Cay, vient par ailleurs de terminer la construction de deux nouvelles villas, tout aussi luxueuses que leurs aînées. Deux grandes chambres avec salle de bain privative, un immense salon dans des tons clairs, des meubles confortables qui privilégient les matières nobles, une vraie cuisine où le chef attitré peut donner la mesure de son talent et, bien sûr, une piscine privée, à quelques pas de la plage. Une définition du luxe chère à Christina Ong, fondatrice du groupe Como, et à Keith Hobbs, célèbre décorateur.Vous avez envie d'investir dans ce petit paradis ? À l'instar de Bruce Willis ? Pas compliqué : il suffit de débourser environ 10 millions de dollars... Tenté ?
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.