La hausse de la matinée n'a pas duré. Schneider était pourtant revenu tutoyer ses plus hauts historiques atteints lundi dernier (119,50 euros en clôture) après les relèvements de recommandation et d'objectif des équipes de recherche de Nomura.
A la clôture, le titre affichait un repli de 0,47 %, ce qui porte sa variation annuelle à 41,05 %.
A en croire la banque Nomura, la progression de la dixième capitalisation boursière de Paris (31,68 milliards d'euros) devrait se poursuivre. Elle vient en effet de réviser à la hausse sa recommandation et son objectif de cours. Elle préconise dorénavant l'achat et vise 135 euros contre 105 précédemment.
Dans le cadre d'une étude sur le secteur des biens d'équipement, Nomura estime que des primes de valorisation doivent être accordées aux sociétés qui affichent une croissance et une rentabilité supérieure à la moyenne. Ce qui est le cas pour de Schneider Elecrtric.
Le bureau d'études explique que Schneider dispose des financements pour investir dans la croissance et, donc, réaliser des acquisitions.
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