LA GRECE, ENCORE ET ENCORE
Décidément, la Grèce n'aime pas quand on ne parle plus d'elle sur les marchés. Elle s'est rappelée à notre souvenir hier, provoquant une belle panique, en agitant la menace d'une faillite si les détenteurs d'emprunts Grecs n'acceptaient pas le deal d'échange qui leur était proposé. Tout cela a provoqué une belle panique sur les indices boursiers.
Mais qu'est ce qui nous a pris de laisser ce pays rejoindre la zone euro? Pas un jour ne passe sans qu'on ait une raison de regretter cette très très mauvaise décision. Hier, nouvel épisode du feuilleton: la Grèce s'est dite prêt à la faillite si les 75% des détenteurs de dettes n'acceptaient pas d'abandonner plus de 50% de leur mise dans le cadre du deal "volontaire" qui leur est proposé.
-3.58% SUR LE CAC
Dur réveil pour les investisseurs qui s'étaient un peu assoupis en pensant que la crise de l'Europe était terminée. C'est le plus beau gadin en un jour en 2012...Et comme d'habitude ce sont les banques qui ont été sanctionnées avec des chutes de plus de 7%.
LA PRIME A LA CASSE
PSA casse les prix pour lever un milliard d'euros avec une décote de 40%. Cela va permettre à GM d'entrer dans le capital.
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« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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