Chtokman : derrière ce nom se cache un projet mythique, celui d'eun des plus grands gisements de gaz du monde, situé en Russie, en mer de Barents. Un projet qui pourrait nécessiter plus de 10 milliards d'euros d'investissements pour sa première phase et qui ne cesse de connaître des rebondissements et des changements d'alliance avec le groupe public Gazprom aux manettes.
Et ce vendredi, Gazprom a annoncé dans un communiqué qu'il retardait de trois ans, de 2013 à 2016, l'exploitation du gisement en raison de changements importants intervenus sur le marché mondial du gaz et notamment du GNL (Gaz naturel liquéfié).
Il précise s'être mis d'accord avec ses partenaires Total
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