József Váradi, l'ancien PDG de la compagnie nationale hongroise Malév, qui a fondé Wizz Air en 2004, n'a peur de rien. En tout cas, pas de la crise, ni de la concurrence. Ce qui l'énerve, c'est le dispositif mis en place au début de la crise en mars par Bruxelles, qui permet aux compagnies aériennes, même si elles ne les utilisent pas en raison de la crise, de conserver leurs créneaux de décollage et d'atterrissage dans des aéroports - comme Norwegian, à Londres-Gatwick. Une situation qui empêche Wizz Air d'y étendre ses ailes - et d'y concurrencer le britannique easyJet.
Recours à l'étude
« Cette décision européenne est injuste et n'est pas tenable, s'emporte-t-il. Nous discutons avec les autorités réglementaires pour remettre en place la réglementation originelle. Le public a besoin d'infrastructures exploitées et de compagnies qui créent des emplois ». Et si József Váradi n'obtient pas gain de cause, il est prêt à aller...
L'exemple parfait du type qui n'a rien compris, ou qui ne veut pas comprendre, au réchauffement climatique, à la crise sanitaire, etc...
Comme quoi on peut être à la pointe du marketing et avoir des idées sociales dignes du XIXème siècle! Puisqu'il n'y a pas besoin de syndicats si la majorité des salariés ne sont pas syndiqués, je suppose que dans son esprit il n'y a pas besoin de partis (à part celui de M. ORBAN?) puisque la majorité des citoyens n'y adhère pas et que, vu le taux d'abstention aux élections, on pourrait également les supprimer...
On observe deja les salaires qui se reduisent comme peau de chagrin.
En 22 votez mieux.