Plus de collaboration entre public et privé

La loi HPST va permettre à des établissements publics et privés, c'est-à-dire les cliniques, de mettre en commun des matériels et de collaborer davantage au sein de groupements de coopération sanitaire (GCS), dont la création est simplifiée. Ces groupements permettront également les coopérations avec les professionnels de santé libéraux, les centres de santé, d'autres organismes ou le secteur médico-social. Surtout, le texte ouvre plus largement la participation des cliniques privées aux missions de service public, qui seront assorties de l'obligation d'offrir une offre continue de soins au tarif de la Sécurité sociale et de participer à la permanence des soins. Il est par ailleurs prévu que la formation des jeunes médecins puisse être effectuée dans des établissements privés, cette ouverture devant toutefois être très encadrée.
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