LA CROISSANCE en 1996 est en partie suspendue à un retour de la confiance des ménages. Malgré le net ralentissement de leur pouvoir d'achat, les Français, inquiets, hésitent en effet à puiser dans leur bas de laine pour consommer. Jacques Chirac, qui présentait dimanche soir ses voeux pour 1996, a prêché la confiance en rappelant les atouts de la France. «La croissance, c'est d'abord la confiance », a-t-il ainsi déclaré. Les syndicats, peu satisfaits des résultats du sommet social, n'excluent cependant pas un rebond de la contestation fin janvier, lorsque tomberont les nouveaux prélèvements. Voir Evenement
La croissance 96, otage de la confiance et des prélèvements
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