Madrid et Athènes à l'heure de la rigueur

Craignant que la reconnaissance d'un déficit budgétaire plus important que prévu en 2009 n'écorne sa crédibilité financière, le gouvernement espagnol a annoncé vendredi un plan d'économies budgétaires de 50 milliards d'euros sur quatre années. Celui-ci doit permettre de ramener le déficit de 11,4 % en 2009 à 3 % en 2013. Quant aux autorités grecques, elles attendent mercredi le verdict de la Commission européenne sur les mesures d'austérité qu'elles ont proposées. Dimanche, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Wester-welle, a prévenu que la Grèce jouit du « soutien total » de l'Allemagne et des autres membres de l'Union européenne dans sa lutte pour faire face à sa dette et aux déficits. E.C.
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.