En bref

STRONG>TRACTATIONS SUR LA GOUVERNANCE DU FMILa répartition des droits de vote au sein du Fonds monétaire international (FMI), et en particulier la place faite aux économies émergentes, est en pleine renégociation. « Quelques progrès ont été faits », a indiqué de façon lapidaire le numéro deux du Fonds, John Lipsky. Les Etats-Unis ont récemment refusé de renouveler le statu quo actuel, mettant les Etats européens (disposant de 9 sièges parmi les 24 gouverneurs du conseil d'administration du FMI) sous pression pour qu'ils fassent plus de place aux grandes économies émergentes. Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, plaide lui, « à titre personnel », pour que l'UE ait « une position unie » au sein du FMI. « Le rééquilibrage au sein du FMI ne doit pas concerner seulement les sièges, mais aussi les quotes-parts et les droits de vote, et doit aussi tenir compte du poids économique réel des différents pays et des organisations », a réagi Christine Lagarde, ministre des Finances, dans un entretien au « Corriere della Sera ».LA Belgique ET LES PAYS-BAS TOUJOURS SANS NOUVEL EXECUTIFNi la Belgique ni les Pays-Bas ne sont sur la voie d'un nouveau gouvernement, trois mois après les élections législatives dans les deux pays. Le chef du Parti socialiste belge, Elio di Rupo, a renoncé vendredi à former un nouveau gouvernement.
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