en bref

Gilles Paquet-Brenner transpose à l'écran l'excellent best-seller de Tatiana de Rosnay « Elle s'appelait Sarah ». L'histoire d'une journaliste d'origine américaine (Kristin Scott Thomas, photo) dont l'enquête sur la rafle du Vél'd'Hiv met à jour les secrets de sa belle-famille. Paquet-Brenner réussit ici un film de bonne facture mais qui reste une plate illustration d'un livre qui avait justement séduit par son originalité. Y. Y.Vivant clandestinement en Belgique avec son fils, Tania est un jour arrêtée et enfermée dans un centre de rétention. Elle y côtoie des familles victimes, comme elle, d'un système aveugle et impersonnel. « Illégal » d'Olivier Masset-Depasse peint le portrait d'une mère courage, incarnée avec beaucoup de conviction par Anne Coesens. Poignant, bouleversant mais nécessaire. C. F.En 1865, le docteur du village accueille chez lui un vagabond. Dès le lendemain, sa fille disparaît avec lui, apparemment envoûtée. Pour « Au fond des bois » Benoît Jacquot s'est inspiré d'un fait divers de l'époque qui a fait jurisprudence, reconnaissant à l'hypnose son pouvoir de « sujétion ». Isild Le Besco déploie ici tous ses talents d'actrice pour donner au film son goût paranormal. C. F.
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