La conférence de Copenhague dans l'impasse

Il ne reste que deux jours aux 120 chefs d'État, qui ont commencé à arriver mercredi dans la capitale danoise, pour tenter de trouver un accord sur la lutte contre le réchauffement climatique. La tâche qui les attend est immense : les dix premières journées de préparation, marquées par la désorganisation, ont surtout mis en lumière l'ampleur des désaccords subsistants. Nicolas Sarkozy, attendu jeudi après-midi à Copenhague, plaidera pour un accord « contraignant » qui impose d'ici à 2050 une réduction de 50 % des émissions mondiales de CO2 par rapport à 1990, et met en place des « financements suffisants » pour aider les pays vulnérables à faire face au défi climatique. Il va défendre aussi la création d'une Organisation mondiale de l'environnement. page 6
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