Les fabricants de téléphones mobiles et les équipementiers en télécommunications sont écologiquement corrects. Bien plus, en tout cas, que les groupes d'informatique et de jeux vidéo, selon une enquêté réalisée par Greenpeace. L'organisation écologiste a fondé son jugement sur trois critères : l'élimination des substances dangereuses des produits, le recyclage des produits obsolètes, et la réduction de l'impact négatif de l'activité de ces groupes sur le climat. Sur les 18 entreprises de l'informatique, des télécoms et de l'électronique examinées par Greenpeace, la palme revient à Nokia. Le fabricant finlandais de téléphones portables a supprimé de ses produits des substances chimiques néfastes pour l'environnement et l'être humain, telles que les composants bromés et les retardateurs de flammes chlorés. Apple arrive en cinquième position. Lanterne rouge, le fabricant japonais de jeux vidéo Nintendo se situe juste derrière le fabricant chinois d'ordinateurs Lenovo, 17ème du classement. Fujitsu et Microsoft écopent respectivement des 15ème et 16ème places.
Les télécoms plus «vertes» que l'informatique
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