Déjà présent dans l'industrie avec des clients tels qu'UPM-Chapelle Darblay, Georgia Pacific, Eramet ou Soufflet, Désormeaux, prestataire de services en électricité industrielle dans un rayon de 100 à 150 kilomètres autour de Rouen, vient de créer un département automatismes. Un secteur qui recouvre l'automatisation des processus industriels, ainsi que la télégestion et la télémaintenance. « Nous pensons ainsi attirer de nouveaux industriels », explique Catherine Leconte, directrice déléguée administrative de cette PME installée au Grand-Quevilly (Seine-Maritime).En 2005, au moment du départ à la retraite du dirigeant Philippe Mahé, Catherine Leconte a racheté la PME avec Stéphane Vautrin, chargé de la partie technique. Les deux associés, anciens cadres de l'entreprise, veillent à l'équilibre des différents secteurs, ce qui a sans doute permis à l'entreprise de « se maintenir » pendant la crise. La PME réalise 20 % de son chiffre d'affaires avec l'industrie, 25 % avec les marchés publics (collectivités, écoles, hôpitaux), 25 % avec le tertiaire et le bâtiment, 25 % avec la SNCF et 5 % avec les particuliers. Elle a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros avec cent salariés, dont dix apprentis en alternance (CAP, BAC PRO, BTS). La société se développe régulièrement en proposant à ses clients « la prise en charge de leurs projets en matière de génie électrique depuis l'étude à la réalisation, en passant par le dépannage 24/24 ». Pour traiter les marchés franciliens, la PME a mis en place une agence à Trappes (Yvelines).Claire Garnier, à Roue

latribune.fr

28 Mars 2011, 12:29

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