Depuis un an, les banques françaises jouent aux bons élèves en termes de rémunérations. En 2009, elles ont affiché les taux de distribution des bonus en cash les plus bas du marché (entre 27 % et 30 %). Pour autant, après une année 2009 record, BNP Paribas a maintenu son enveloppe dédiée aux bonus (cash et actions) par rapport à 2007. Toutes se plaignent des excès retrouvés de certains établissements anglo-saxons qui biaisent le marché. Les banques françaises ont surtout du mal à recruter et à retenir leurs talents. « On ne pourra pas faire plus », s'écriait récemment un patron français. Signe que les efforts sont finis ?

latribune.fr

27 Oct 2010, 23:22

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