Plusieurs quotidiens italiens rapportent ce jeudi que Telecom Italia chercherait à trouver une solution avec le fisc transalpin. Celui-ci lui réclamerait 300 millions d'euros d'arriérés d'impôts liés à l'enquête en cours pour fraude fiscale et blanchiment d'argent sur sa filiale Sparkle.
Le temps presse car la justice doit se prononcer d'ici le 7 avril sur le placement ou non de la filiale Sparkle sous administration judiciaire sachant que son administrateur délégué a été arrêté.
L'opérateur télécom italien doit demander ce jeudi à son conseil d'administration de reporter encore l'approbation de ses comptes 2009. Quant à la présentation de son nouveau plan industriel, elle est attendue le 29 avril prochain.
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