L'augmentation de l'indemnisation du chômage partiel officialisée

Les textes règlementaires qui modifient l'indemnisation du chômage partiel en France ont été publiés au Journal Officiel. Pour ce qui est de l'augmentation du nombre d'heures autorisée, la modification est passée par décret.

Désormais, le taux d'indemnisation du chômage partiel en France ne sera plus de 50%, mais de 60%. Les textes permettant cette modification ont été publié au Journal Officiel les 31 janvier et 1er février, après une série de négociations avec les partenaires sociaux menée à la fin de l'année 2008.

Cet accord national interprofessionnel comprend également une augmentation du plancher d'indemnisation pour le porte à 6,84 euros de l'euros, contre 4,42 euros auparavant. Le projet prévoit également une augmentation de l'aide financière de l'Etat pour indemniser le chômage partiel. Pour les entreprises de moins de 250 salariés, elle sera de 1,40 euro de l'heures et de 1,20 euros de l'heure pour les sociétés de plus de 250 salariés. Le gouvernement espère que "ces textes se traduiront par une amélioration significative des revenus perçus par les salariés en situation de chômage partiel".

Mais en contrepartie de l'amélioration de l'indemnisation, le nombre d'heures de chômage partiel autorisées en France a été significativement relevé. Il est passé de 600 à 800 heures par ans, voire 1.000 heures par ans pour les entreprises de l'industrie automobile et textile. Ces modifications ont été instaurées par décret par le gouvernement le 5 janvier dernier.

Pour l'instant, en France, les constructeurs automobiles et leurs fournisseurs (PSA Peugeot Citroën, Renault, Faurecia, Michelin?) sont les principales entreprises à avoir déjà eu recours au chômage partiel. Mais le gouvernement prévoit que les recours au chômage technique vont se multiplier dans les prochains mois.

Commentaires 8
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
chomer plus pour vivre de rien. ça c'est un bon slogan politique.

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
Pansement sur une émoragie - cela ne changera rien - Il faut faire des économies au sommet de l'Etat, supprimer massivement les Enarques et fermer les grandes ecoles qui ont produit des mauvais diplomes. cOMME LES PERMIS DE CONDUIRE DES CHAUFFARDS, i...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
@ pansement : Loin de vouer un culte aux Enarques d'état bien de chez nous, on ne peut s'empêcher de sentir une certaine rancoeur dans tes propos. C'est pas parce que tu as été recalé qu'il faut supprimer les meilleurs diplômes. Nivellement par le ha...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
empoye d'une manafacture qui octroi 16 milliard d'euro a ses patrons , celle ci est obligee de faire du chomage partiel pour tenir le coup pour fermer encore une usine !!!!!!!

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
hum je suis loin d'être convaincue par ce nouveau dispositif pour le bien être des entreprises.. qui paie la note à la fin? c'est encore les sociétés qui financent , elle est où l'aide de l'Etat pour garantir la viabilité de celles ci?

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
Aide de l'état pour les entreprises !non mais on croit réver.Pour en assurer la viabilité? Mais c'est un cauchemar ..si les personnes qui dirigent ces entreprises ne sont pas capable par leur production de bénéfice d'assurer cette perennité,soit ce ...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
moi ji comprend pa grand chose moi j ai toujour travailler a temps partiel car je fait du menage ma societe perd un chantier du coup je perds mon travail car javai 1 eure par jour mai voila je ne faiser pas les 30 pour cent il me reste q une eure da...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
Signaler
Loin de moi l'idee de pleindre les riches qui vont devenir pauvre car il n'ont pas été capables de vivre autrement qu'a credit. Comme tu l'as dit nous ; pauvres de naissance ; n'auront pas les memes problemes car ont y est habitués . Mais franchement...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.