Duc : croissance solide au premier semestre

Grâce à l'apport de nouveaux clients, le groupe volailler français a réalisé, au deuxième trimestre, un chiffre d'affaires de 53,22 millions d'euros, en progression de 33% (+20% à périmètre comparable) par rapport au trimestre correspondant de 2007. Sur six mois, les ventes ressortent à 103,12 millions (+30%).

Le groupe volailler français Duc a réalisé au deuxième trimestre de 2008 un chiffre d'affaires de 53,22 millions d'euros, en progression de 33% (+20% à périmètre comparable) par rapport au trimestre correspondant de 2007, selon un communiqué publié ce mercredi.

Après une hausse de 26% sur un an de son chiffre d'affaires au premier trimestre 2008, Duc attribue cette nouvelle progression "au gain de nouveaux clients", en dépit d'un "environnement malmené" marqué notamment par "le prix des matières premières en très forte augmentation" et le "ralentissement du pouvoir d'achat".

Sur les six premiers mois de l'année, les ventes ressortent donc à 103,12 millions d'euros soit une hausse de 30,14% sur la même période de 2007 et de 16,21% à périmètre comparable. Dans son communiqué, le groupe précise qu'"au cours des six premiers mois de l'année en France, la consommation de poulet et de dinde a respectivement chuté de 3,1% et 8,3% en volume. Duc a cependant enregistré une progression des ventes de poulet de 11% et de dinde de 9% par rapport au premier semestre 2007. La famille des produits panés à progressé de 54% au cours du semestre, par rapport à la même période de l'an dernier. Les gammes été, grâce à leurs meilleurs référencements, ont connu un bon démarrage mais ont souffert de conditions météorologiques défavorables sur juin".

Le groupe maintient son objectif de "croissance raisonnée" de son chiffre d'affaires pour l'e,semble de l'année. Cité dans le communiqué, Joël Marchand, directeur général de Duc commente: "dans un environnement général très difficile, le deuxième trimestre a vu les ventes de Duc poursuivre leur progression, confirmant notre objectif de croissance. L'augmentation du prix des matières premières a entraîné une érosion de nos marges au cours de la période, qui devrait être en partie compensée au second semestre".

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