
La Monnaie de Paris ne rend pas les armes. Deux ans après une première tentative, l'institut relance sa campagne en faveur de la création d'une pièce de 5 euros, qui viendrait concurrencer le billet de même valeur.
"La zone euro ferait une économie collective de 10 milliards d'euros"
"Si on transformait tous les billets de 5 euros en pièces, la zone euro ferait une économie collective de 10 milliards d'euros", a fait valoir ce vendredi auprès nos confrères de l'AFP Christophe Beaux, le patron de la Monnaie de Paris. Le groupe public met en avant la longévité des pièces (en moyenne de 40 ans), bien supérieure à celle des billets (estimée à 1 an), qui pourrait permettre d'importantes économies.
Ce dernier a également fait valoir son point de vue lors d'une réunion à Bruxelles ce vendredi. Celle-ci réunissait des représentants des Etats membres de la zone euro, de la Banque centrale européenne et des instituts de frappe monétaires.
L'hostilité de la BCE
Même s'il obtenait l'accord des autorités politiques, en l'occurrence en France de la direction du Trésor qui dépend de Bercy, Christophe Beaux risquerait de buter comme en 2011 sur l'hostilité de la Banque centrale européenne (BCE) qui est opposée à une telle idée.
D'autant que les banques centrales nationales sont celles qui fabriquent le billet de 5 euros considéré avec le billet de 10 euros comme l'un des plus rentables de toutes les coupures.
"Franchement, ce n'est pas possible", affirme un responsable de Bercy
Pour la Monnaie de Paris, se voir confier la fabrication d'une pièce de 5 euros relancerait son activité séculaire de frappe de monnaies pour le compte de l'Etat, en perte de vitesse. Le chiffre d'affaires de cette activité historique a baissé en 2012 de 9%, à 42 millions d'euros. Elle ne représente plus que 27% des revenus de la Monnaie de Paris contre 60% en 2007.
Si l'Etat a commandé 800 millions par an de pièces à la Monnaie pour les trois prochaines années, ce montant devrait diminuer par la suite, indique le groupe public. "Faut-il autoriser la production d'une pièce de 5 euros pour occuper des salariés de Pessac. Franchement ce n'est pas possible", ironise un responsable de Bercy.
En 2011, plusieurs instituts de frappe avait déjà fait campagne pour la création d'une pièce de 5 euros calquée sur la pièce de 5 francs suisse
En 2011, avec entre autres les instituts de frappe danois, italien et espagnol, la Monnaie de Paris avait déjà fait campagne auprès des autorités européennes pour la création d'une pièce de 5 euros calquée sur le modèle de la pièce de 5 francs suisse. L'essai n'avait pas été concluant.
Cette initiative s'inscrit dans une campagne générale de la Monnaie de Paris, qui milite pour une restructuration de l'industrie européenne de la frappe monétaire, comptant une vingtaine d'acteurs. Bousculée comme ses rivaux européens par la multiplication des moyens de paiement électroniques, la Monnaie de Paris se doit en effet de réagir si elle veut survivre.
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Sinon dans les faits, on pourrait virer les billets de 5 euros pour les pièces de 5 euros, mais on pourrait purement annuler les pièces de 1 et 2 centimes d'euros qui ne servent à rien, certains parlent aussi d'annuler le billet de 500 euros, les études montrent qu'ils ne sert surtout qu'aux trafics.
Les hauts financiers ont décidé il y a 4 à 5 ans( voir leurs interviews), que vers 2015, les monnaies soient entièrement dématérialisées, pour ainsi pouvoir en taxer les transactions électroniques( une sorte de tva privée) et imprimer sans que les gens s'en rendent compte pour s'auto-financer, de façon à créer un nouveau moyen-âge en détruisant la classe moyenne et créer une nouvelle noblesse qui cherche à justifier leur richesse par leur position sociale et leur position sociale par leur richesse( ça tourne en rond, mais cela est leur argument depuis 1000 ans). Comme ce que disent certains depuis quelques temps, nous vivons l'anti-1789, et nos propres dirigeants ne font rien contre, un état surendetté est un état faible qui est réduit au rôle de fermier général( collecteur d'impôt), il finance les riches et accable les pauvres de taxes( et surtout pas l'inverse).
A chaque fois la réaction d'incrédulité des peuples est orienté vers une "incompétence" de nos politiques ou un besoin de diversion de nos édiles. Je crois aussi que rien n'est plus faux. Il est vrai que leur rôle est en ce sens difficile, même si je le conçois coupable. Et les procès en incompétence permettent in fine la mise en place d'une nouvelle équipe qui ne fera pas non plus ce pour quoi elle a été élu, mais finira comme par hasard par parachever ce que ses adversaires officiels ont entrepris ou au contraire mettre en oeuvre ce qui était manifestement trop coûteux pour eux politiquement.
Quant à ceux qui verraient là une quelconque théorie du complot, qu'ils se contentent justement de ne regarder que les faits, abstraction faite des arguties politiciennes, en prêtant attention en particulier à tous les textes qui paraissent hors de propos ou circonstance. Pourquoi une loi qui viendrait interdire soudain la publicité sur le vin? Pourquoi la mise en place de l'agenda 21, pourquoi l'idée tout à coup de lier l'impôt sur le revenu à la nationalité, comme aux US, oupourquoi ces derniers viennent de mettre en place un système d'assurance santé proche du nôtre, et nous un transfert de la sécu vers les mutuelles comme aux US, en les rendant obligatoires, pourquoi les mêmes attitudes sur les politiques migratoires non discutées démocratiquement mais imposées identiquement par l'état, y compris jusque dans les politiques d'amnistie massives, etc.
Sinon dans les faits, on pourrait virer les billets de 5 euros pour les pièces de 5 euros, mais on pourrait purement annuler les pièces de 1 et 2 centimes d'euros qui ne servent à rien, certains parlent aussi d'annuler le billet de 500 euros, les études montrent qu'ils ne sert surtout qu'aux trafics.
Les hauts financiers ont décidé il y a 4 à 5 ans( voir leurs interviews), que vers 2015, les monnaies soient entièrement dématérialisées, pour ainsi pouvoir en taxer les transactions électroniques( une sorte de tva privée) et imprimer sans que les gens s'en rendent compte pour s'auto-financer, de façon à créer un nouveau moyen-âge en détruisant la classe moyenne et créer une nouvelle noblesse qui cherche à justifier leur richesse par leur position sociale et leur position sociale par leur richesse( ça tourne en rond, mais cela est leur argument depuis 1000 ans). Comme ce que disent certains depuis quelques temps, nous vivons l'anti-1789, et nos propres dirigeants ne font rien contre, un état surendetté est un état faible qui est réduit au rôle de fermier général( collecteur d'impôt), il finance les riches et accable les pauvres de taxes( et surtout pas l'inverse).
1 cent, 5 cents, 10 cents 25 cents = 4 pièces.
$1, 2, 5, 10, 20, 50 et $100.... = 7 billets dont 6 utilisés ( le $2 étant fabriqués mais pas utilisé)
En EU nous avons le 5, 10, 20, 50, 100, 200, 500... les deux derniers ne servant qu'au blanchiment de l'argent... voilà les billets à supprimer!
Merci Olaff pour l'orthographe!
Cette commission vous la payer déjà sur le prix de vos achats par carte bancaire... ou pas.
C'est le client qui la paie au commerçant tout comme la TVA. C'est bien ce que je disais, l'espèce est le mode de paiement privilégié des fraudeurs...