« Les vrais beaux portefeuilles seront ceux en lien avec la gestion de la crise », pronostique Jean-Thomas Lesueur de l'inInstitut Thomas More. Industrie, marché intérieur, commerce et affaires économiques se classent donc dans le « top 5 ». Il faut y ajouter la concurrence, « une compétence européenne non contestée », d'où découle une vraie autorité européenne selon Paul Adamson, (directeur du think tank The Centre). L'environnement fera également des envieux : « un poste médiatique ». La crise du gaz de l'hiver dernier a rappelé la pertinence de la question énergétique et le siège d'Andris Piebalgs est désormais considéré comme « ultra-stratégique ». Politique régionale et agriculture brassent l'essentiel des fonds européens et sont donc deux postes importants par nature. Enfin, et si le traité de Lisbonne entre en application, le nouveau poste de ministre des Affaires étrangères de l'Union pourrait faire l'objet de convoitises.

latribune.fr

09 Avr 2009, 1:29

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