PATRCIK OLLIER, président de la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale : « S'agissant des stock-options de M. Bouton, c'était une mauvaise initiative au mauvais moment. Il est devenu une sorte de symbole. Mais la Société Généralecute; Générale est une banque solide qui a une bonne image auprès des clients. Il ne faut surtout pas que ce qui touche aujourd'hui un homme puisse porter l'opprobre sur tout un établissement bancaire. » MAURICE LÉVY, président du directoire de Publicis : « Aussi triste que la décision soit, elle s'est imposée à lui. Daniel Bouton était devenu une cible, c'était insupportable et je comprends très bien qu'il soit à bout. C'était la bonne décision. » CHRIS VIEHBACHER, directeur général de Sanofi-Aventis : « Notre croissance en volume est essentiellement réalisée dans les pays émergents. Cela valide notre stratégie envers le Brésil, le Mexique ou la Chine. Il faut avoir une gamme de produits et une gamme de prix adaptées, je veux que cela soit géré au niveau local, avec une réelle politique commerciale.Ils ont dit su

latribune.fr

16 Mai 2009, 1:43

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