Le conglomérat indien Tata Group a rejeté un prêt de 10 millions de livres de la part du gouvernement britannique, censé l'aider à développer une version électrique d'un de ses modèles automobiles existants, rapporte un journal britannique. Ce financement de 10 millions de livres devait permettre d'accélérer un projet d'investissement du groupe Tata de 25 millions dans son centre technique européen basé à l'université de Warwick. Le site, mis en place en 2005, a pour objectif de développer la technologie utilisée par Tata dans ses voitures produites en Inde et de lui ouvrir l'accès au réservoir de talents européens. Le constructeur indien travaille actuellement sur la version européenne de la Nano, un véhicule bon marché baptisé « la voiture du peuple », commercialisé l'an dernier en Inde. Selon la presse britannique, l'offre financière de Londres reste valide.Samsung Electronics prévoit de relocaliser une partie de sa production d'équipement à air conditionné dans son usine de Si Racha, située dans la partie orientale de la Thaïlande, en espérant tirer profit de l'accord de libre-échange entre les pays de l'Asean, entré en vigueur cette année. L'application de cet accord commercial devrait en effet se traduire par des réductions pouvant atteindre 5 % des tarifs douaniers. « Ce transfert sera très positif pour notre usine thaïlandaise, plus souple dans sa capacité de production et, pour la commercialisation d'équipements d'air conditionné à bas prix », explique- t-on chez Thai Samsung Electronics.

latribune.fr

01 Déc 2009, 1:43

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