L'ouverture du capital au point mort

C'était l'une des mesures phares, en octobre, du Conseil stratégique des industries de santé. La filiale biotech du LFB (environ 3 millions d'euros d'activité) devait « rechercher des financements externes, notamment par ouverture du capital ». Et ce, « dès 2010 ». Une entrée en Bourse ou un partenariat avec le FSI avaient été évoqués pour financer un budget de 200 à 300 millions d'ici à 2013. Six mois plus tard, tout a changé : « Nous n'avons aucun partenariat en vue et ne discutons pas avec le FSI », précise Christian Béchon. « Notre activité biotechs est surtout un centre de recherche, complexe à valoriser. Nous sommes rentables, il n'y a pas d'urgence », assure-t-il. En 2009, le résultat net du LFB a crû de 59 %, à 17 millions.
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