Revue de presse

STRONG>La Dépêche du Midi : Dépôt de bilan annoncé pour les Eaux d'AletRachetées en mai dernier à Olivier Sadran, les Eaux d'Alet-les-Bains sont en sursis. Mardi, l'homme d'affaires belge Philippe Leclercq a annoncé qu'il déposerait le bilan, vendredi, devant le tribunal de commerce de Carcassonne auquel il demandera de placer la société en redressement judiciaire. Financièrement exangue, la société Eurokin était depuis plusieurs semaines au bord du gouffre, du moins sur son site audois : salaires impayés, factures peu ou pas honorées auprès des créanciers, etc. Pour Philippe Leclercq, « il est évident que les Eaux d'Alet sont malades, mais elles ont aussi un formidable potentiel ».Libération-Champagne : Ces entreprises auboises qui brillent à l'exportationEn dehors des grands groupes tels que Devanlay, Soufflet et Petit Bateau, il existe des entreprises auboises qui tirent leur épingle du jeu à l'exportation. Le quotidien de Troyes a rencontré, lors de la table ronde économique qu'il a organisée, trois chefs d'entreprise venus témoigner de leur réussite mais aussi de leurs difficultés. Tel Michel Drappier, propriétaire du champagne éponyme, dont le père n'exportait pas mais qui a su donner un nouveau souffle à la marque en franchissant les frontières. Ou encore Sedis, fabriquant de chaînes en acier, qui réalise un tiers de son chiffre d'affaires à l'export. Et enfin Michel Vernier, patron de la marque Pause Café (prêt-à-porter féminin), qui vend désormais un article sur quatre à l'étranger. Pour autant, tout n'est pas rose à l'export. Michel Drappier et Robert Armand (le PDG de la Sedis) sont gênés aux États-Unis par un euro surévalué par rapport au dollar, tandis que Michel Vernier préfère aborder le continent américain via le Canada.L'Ardennais « Champagne » sans « Ardenne » : les excuses du MedefPlus question d'envisager la région Champagne sans l'Ardenne. En moins d'une journée, la polémique a tellement enflé au sujet de cette piste de réflexion (listée dans une étude prospective sur le devenir de la région à l'horizon 2030 et reprise par l'organisation patronale) que son abandon est annoncé par Pierre Possémé, président du Medef régional.
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