Les entreprises françaises investissent beaucoup au Brésil. Nous avons le 4e stock d'investissements directs |...]. La Chine est devenue le premier partenaire commercial du Brésil. Elle est très présente mais sur le plan des investissements, elle n'est pas encore au niveau d'autres pays comme les États-Unis. Et il y a une compétition entre Européens?: les Espagnols, les Italiens, les Français, les Allemands. Nous sommes, Européens, unis dans notre attitude politique, mais sommes sur ce terrain dans une compétition. »Yves Saint-Geours, ambassadeur de France au BrésilArnaud Vaissié, PDG d'International SOS, président de la Chambre de commerce française de Grande-Bretagne et cofondateur du Cercle d'outre-MancheLe discours de George Osborne secoue la population. Il est clair que cela tranche considérablement avec ce que proposait Gordon Brown et ce qu'on a connu ces dix dernières années. M. Osborne a raison sur la réduction des dépenses mais il est un peu maximaliste. Les entreprises en Grande-Bretagne sont inquiètes. L'État qui se retire d'un certain nombre de secteurs ne peut qu'avoir un impact sur l'emploi et donc sur la croissance. »Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi-AventisDepuis le mois de mai, nous essayons d'avoir un dialogue avec la direction de Genzyme. Nous avons envoyé plusieurs lettres puis nous avons rencontré tous les grands actionnaires qui, eux, semblaient prêts à régler leur part. Ils aiment beaucoup la proposition de tout en « cash ». Il y a une volonté des actionnaires pour cette transaction mais les échanges avec le président de Genzyme n'ont pas été fructueux. C'est pourquoi aujourd'hui nous avons décidé de franchir l'étape suivante. »

latribune.fr

04 Oct 2010, 23:31

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